L’une, à Germont en Limousin, fait chanter l’occitan. L’autre, à Traoñ-an-Dour en Trégor, magnifie le breton. Deux femmes, carnets noircis de poèmes dans leurs poches de sarraus, entre traites et chemins creux, bottes caoutchouc et veillées au coin du feu. Après-guerre, elles voient […]
Find out more »