Dès que la nuit descend sur nos campagnes et que son ombre noie peu à peu champs et villages, tout un peuple d’êtres mystérieux s’apprête à prendre, à son tour, possession de la terre des vivants. C’est le moment des bruits et clameurs de la chaça volanta, des errements du lébérou et des apparitions diaboliques. Des êtres qui ne sont pas forcément hostiles, soit, mais il vaut mieux hâter le pas, rentrer vite à la maison et ne pas ignorer la prophétie que lance parfois cette grosse bête noire qui parcourt la nuit : « Si tu sabias çò que la nuech te pòrta, l’enser tu barrarias mielhs ta pòrta ! » (« Si tu savais ce que la nuit te porte, le soir tu fermerais mieux ta porte ! »)…
Plus d’informations à venir.
Per ne’n saubre mai e se marcar – Renseignements & réservations