
Joan Pau Verdier © Bill Akwa Bétotè
40 ans de « carrière » d’auteur compositeur interprète.
Aujourd’hui Verdier continue de donner des spectacles mêlant ses propres chansons et celles de Léo Ferré, la langue occitane et la langue française.
Encore un enfant de Ferré, mais quel ! La dernière fois qu’on a vu Joan Pau Verdier sur scène c’était le 14 juillet 2003 – date du dixième anniversaire de la disparition de Léo – aux Francofolies de la Rochelle. « On se souvient, écrivait alors Marc Legras dans Chorus, que Verdier salua Léo Ferré (Maladetto, Léo) dès 1974 et adapta Ni dieu ni maître, l’année suivante, en occitan. Sa façon à lui, entre oc et rock, d’assumer une forme de filiation et souligner combien l’œuvre de Ferré constitua un révélateur pour nombre d’adolescents de sa génération. » Extrait de l’article de Fred Hidalgo paru le 11/12/2010.
Avec Patrick Deschamps (accordéon, basse guitare) et Didier Berguin (guitare, contrebasse, percussions et chœurs).
> Entrada / Entrée : 15 € (plein), 10 € (réduit pour demandeur emploi, CE), 8 € (étudiant)
Per ne’n saubre mai
Théâtre de la Passerelle (5, rue du Général du Bessol – 87000 Limoges) – 05 55 79 26 49 – theatre-de-la-passerelle87@wanadoo.fr – theatredelapasserelle.fr